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Méditation Quotidienne

La communion : demeurer près du Siegneur

April 16, 2021 • Célie

(Jésus dit :) Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui et nous ferons notre demeure chez lui. Jean 14. 23 Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés ; demeurez dans mon amour. Jean 15. 9 La communion : demeurer près du Seigneur (3) : Jean 1. 35-39 : Deux disciples suivent Jésus. Il se retourne et leur demande : “Que cherchez-vous ?” Ils lui disent : “Où demeures-tu ?” et Jésus les invite à venir près de lui. Ces deux disciples voulaient la compagnie du Seigneur pour pouvoir l’entendre, le questionner et bénéficier de son intimité. Luc 19. 2-6 : Zachée, lui aussi, voulait connaître Jésus, il cherchait à savoir “qui il était”. Il est alors monté sur un arbre au bord du chemin, et il a vu Jésus arriver. Mais surtout, il l’a entendu lui dire : “Zachée, descends vite, car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison”. Aussitôt, il a reçu Jésus chez lui, avec joie. Pour nous, chrétiens, la communion avec le Seigneur, c’est effectivement “demeurer avec lui”. Ainsi nous pouvons nous tenir par la foi près de lui, en le priant et en lisant sa Parole. Nous pouvons aussi rechercher la compagnie des croyants, lors de réunions chrétiennes, là où le Seigneur a promis sa présence (Matthieu 18. 20). Mais le Seigneur est aussi avec nous, là où nous sommes, dans toutes nos situations. Il a dit : “Moi je suis avec vous tous les jours” (Matthieu 28. 20). Son Esprit nous fait éprouver sa présence, quand nous vivons en obéissant à sa Parole, quand nous “gardons” sa Parole. Sur la terre, le Seigneur faisait la volonté de son Père et restait toujours conscient de son amour. Il nous invite à faire de même. Ainsi notre joie pourra être “complète” (Jean 15. 10, 11), notre vie reflétera quelque chose de ses caractères, et Dieu en sera honoré.

Si eloigné et pourtant si proche

April 15, 2021 • Célie

… Pour qu’ils cherchent Dieu, en s’efforçant si possible de le toucher comme à tâtons et de le trouver, quoiqu’il ne soit pas loin de chacun de nous. Actes 17. 27 Que votre douceur soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche. Philippiens 4. 5 Si éloignées et pourtant si proches : Dans le détroit de Béring, près du pôle Nord, se trouvent deux îles : la grande Diomède appartient à la Russie, et la petite Diomède aux USA. La ligne de changement de date passe entre les deux. Quand il est lundi côté américain, il est déjà mardi côté russe ! Ces deux îles ne sont pourtant distantes l’une de l’autre que de quatre kilomètres. Si éloignées et cependant si proches ! N’est-ce pas souvent ce que nous vivons avec Dieu ? Il nous semble si lointain, et pourtant il est tout proche. “Dieu n’est pas loin de chacun de nous”, disait l’apôtre Paul aux Athéniens. Dieu était proche d’eux, mais ils ne le connaissaient pas. Ils lui avaient même érigé un autel dédié “au dieu inconnu”. Ce qui peut-être nous empêche le plus de nous approcher de Dieu, ce sont nos a priori, nos idées erronées. Si nous pensons que Dieu est exigeant, ou insensible, nous resterons loin de lui. Mais si nous nous ouvrons à son amour, nous nous rapprocherons de lui. Par sa venue, Jésus nous a révélé que Dieu veut être tout proche de nous et pardonner nos fautes, même celles qui sont inavouables. Jésus a payé le prix fort pour cela. “Vous avez été approchés par le sang du Christ”, est-il écrit (Éphésiens 2. 13). Allons-nous rester loin de Dieu ou souhaitons-nous nous approcher de lui ? Ne craignons pas d’être repoussés, croyons à son pardon, à son amour. Allons vers Dieu chaque jour… car chaque jour il a quelque chose à nous pardonner, à nous donner, ou tout simplement à nous dire. Venons à lui chaque jour par la prière.

Le retour de Jesus

April 14, 2021 • Célie

Être avec Christ… c’est, de beaucoup, meilleur. Philippiens 1. 23 Nous serons toujours avec le Seigneur. 1 Thessaloniciens 4. 17 Le retour de Christ : Tout croyant qui connaît son Dieu et vit avec lui, a le profond désir de le rencontrer. La Bible relève plusieurs témoignages qui nous encouragent et nous interpellent. “Mon âme désire, et même elle languit après les parvis de l’Éternel” (Psaume 84. 2). “Mon âme crie après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant. Quand viendrai-je… devant Dieu ?” (Psaume 42. 1, 2). Il a été accordé à Étienne, lors de son martyre, de voir déjà dans le ciel Jésus dans la gloire (Actes 7. 55), Paul souhaitait être avec Christ (verset du jour). Pour les chrétiens qui ont mis leur espérance et leur foi en Jésus, la Parole de Dieu évoque le moment du retour du Seigneur pour enlever les siens : “Si je m’en vais… je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi” (Jean 14. 3). Ce moment semble tout proche : “Oui, je viens bientôt” (Apocalypse 22. 20). Ce sera un fait exceptionnel et miraculeux : “Nous ne nous endormirons pas tous, mais nous serons tous changés : en un instant, en un clin d’oeil…, les morts seront ressuscités incorruptibles, et nous, nous serons changés” (1 Corinthiens 15. 51, 52). Cette attente patiente de l’âme qui sait qu’elle est comme dans une habitation provisoire, peut-être pour très peu de temps, fait-elle partie de notre vie ? Ne donne-t-elle pas un peu de courage à ceux qui souffrent d’un handicap ? Si nous étions remplis du désir de rencontrer le Seigneur qui a donné sa vie pour nous, notre vie lui serait consacrée. Lui voudrait pouvoir dire à chacun : “Tu as été fidèle…, entre dans la joie de ton maître” (Matthieu 25. 21).

Persécuteur et condamné

April 12, 2021 • Célie

L’Éternel est ma lumière et mon salut : de qui aurai-je peur ? L’Éternel est la force de ma vie : de qui aurai-je frayeur ? Psaume 27. 1 Voici, je les ferai venir se prosterner devant tes pieds, et ils sauront que moi je t’ai aimé. Apocalypse 3. 9 Persécuteur et condamné : Messages de chrétiens persécutés “À l’époque où j’étais persécuté à cause de l’évangile, je fus une fois condamné à mort. Mais le Seigneur me protégea. Au lieu d’être exécuté, je fus laissé en prison. Quelque temps après, le juge qui avait prononcé ma condamnation eut lui-même des difficultés. À cause de ses activités politiques, il fut condamné à une longue peine. Il fut mis, non seulement dans la même prison que moi, mais dans la même cellule ! Après m’avoir reconnu, il commença à pleurer :”Ô Dieu, je me rends. Ô Jésus, je me rends vraiment“. Il continua pendant quatre à cinq minutes, puis se tourna vers moi et me dit :”Ainsi, c’est vous. Vous souvenez-vous de moi ? Votre vie était entre mes mains. Je vous avais condamné à mort, et j’ai essayé de faire exécuter la sentence à plusieurs reprises, mais chaque fois que j’essayais de vous faire mourir, il se produisait quelque chose qui retardait l’exécution. Mais qui aurait pu penser que je serais ici, en prison, avec vous ? Je vois que votre Dieu a préservé votre vie. Vous êtes entre ses mains. Moi, je suis dans les mains des chefs du parti. Ils ne me laisseront pas vivre. Pardonnez-moi, s’il vous plaît. J’ai besoin de votre Jésus. “Je le regardai. Il avait été mon juge. Maintenant, je pouvais être le sien. Et le Seigneur me dit quelle sorte de jugement je devais lui donner : Dieu pardonne, et nous devons faire de même. Et quant à notre vie, elle est entre les mains de Dieu : pas un seul moineau”ne tombe à terre sans la permission de votre Père“(Matthieu 10. 29).” Li An (Chine)

Dieu ne se taira pas toujours

April 9, 2021 • Célie

Dieu… ordonne maintenant aux hommes que tous, en tous lieux, ils se repentent ; parce qu’il a fixé un jour où il doit juger avec justice la terre habitée. Actes 17. 30, 31 Dieu ne se taira pas toujours : Sur le mur d’un camp de concentration, un détenu a griffonné : “Je crois en Dieu, même quand il se tait”. Le silence de Dieu est quelquefois interprété comme de l’indifférence ou, pire encore, comme une prétendue preuve qu’il n’existe pas ! Devant des faits atroces, insoutenables, on s’écrie alors : “Comment peut-il exister un bon Dieu ?” On voudrait un Dieu “garde-fou”, capable de contenir tous les débordements qui nous révoltent, un Dieu qui remplisse le rôle que nous lui avons fixé. On lui trouve des obligations et des devoirs, oubliant que c’est nous qui avons des comptes à lui rendre, et non l’inverse. On oublie simplement que Dieu est Dieu, qu’il est souverain et que ses plans échappent à notre compréhension. Aujourd’hui comme autrefois, des hommes sont opprimés, des enfants souffrent, des injustices se commettent… et Dieu se tait et semble ne rien faire. Mais il voit tout et se souviendra de tout. “Qu’on écrase sous les pieds tous les prisonniers de la terre, qu’on fasse fléchir le droit d’un homme devant la face du Très-haut, qu’on fasse tort à un homme dans sa cause, le Seigneur ne le voit-il pas ?” (Lamentations de Jérémie 3. 34-36). Et le jour vient où il exercera le jugement, et ce sera alors “terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant” (Hébreux 10. 31). Mais Dieu aime les hommes ; il ne veut pas les condamner, il veut les sauver. Il offre sa grâce à tous ceux qui lui confessent leurs péchés et font confiance à Jésus mort pour eux. N’abusez pas de sa patience !

la communion être proche de jésus

March 22, 2021 • Célie

Seigneur, auprès de qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jean 6. 68 Marie, … s’étant assise aux pieds de Jésus, écoutait sa parole. Luc 10. 39 Dieu est fidèle, lui par qui vous avez été appelés à la communion de son Fils Jésus Christ, notre Seigneur. 1 Corinthiens 1. 9 La communion : être proche de Jésus (1) En 1972, lors de la sortie de l’un de ses romans, on a demandé à Gilbert Cesbron (1913-1979) de remplir un célèbre questionnaire psychologique : le “questionnaire de Proust”. À la question : “Quel serait mon plus grand malheur ?” il a répondu : “Ne plus vivre dans la proximité de Jésus de Nazareth”. Quelques années plus tard, après la publication d’un nouveau roman, on lui a fait remplir à nouveau le questionnaire. À la même question, sa réponse a été : “Ne plus vivre dans la compagnie du Christ de Nazareth”. Quelle constance ! Le romancier n’avait jamais caché sa foi et tous ses livres en étaient empreints. “Vivre dans la proximité de Jésus”, ou “vivre dans la compagnie du Christ”, la Bible appelle cela la communion avec le Seigneur. Une telle vie suppose d’abord que l’on ait cru en Jésus Christ et que par lui on ait reçu le pardon de Dieu. Mais la communion, c’est plus que cela, c’est connaître le Seigneur comme celui avec lequel j’ai une relation vivante, celui que je laisse intervenir dans ma vie. La Bible emploie plusieurs images pour évoquer la communion : - marcher avec un ami et parler avec lui, - passer quelque temps chez lui, - avoir un dialogue en échangeant des pensées et des sentiments, - partager un repas avec lui. Dans les feuillets qui vont suivre, le samedi, nous reviendrons sur ces différentes images. Mais dès maintenant nous pouvons exprimer cette demande : Seigneur, donne-moi ce désir de vivre à tes côtés, j’ai besoin de toi !

Le témoignage de François partie 2

April 8, 2021 • Célie

Je suis crucifié avec Christ ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi ; et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 2. 20 Le témoignage de François (2) Beaucoup plus tard, François pourra écrire : “Je suis venu dans cette salle, poussé par des besoins spirituels, une quête de mon âme après Dieu, que je ne connaissais pas, mais à l’existence duquel je croyais. Personne ne m’avait parlé de l’évangile, j’ignorais tout de la religion, mes parents et moi-même n’allions jamais à l’église. Je n’étais qu’un pauvre garçon, élevé sans Dieu, sans foi, qui progressivement a vu se lever en lui des besoins spirituels, un appel vers Dieu. J’avais un immense besoin de Dieu. C’est peut-être la perte de ma soeur aînée qui m’avait amené sans que je m’en rende compte à rechercher Dieu dans ma jeunesse. Il est certain que la souffrance peut nous pousser à rechercher Dieu. Et Dieu, je l’ai trouvé, pleinement révélé dans le Christ, en qui j’ai vu mon Sauveur et Seigneur. C’est pourquoi les peines et les déceptions ne peuvent altérer ma foi. Je sais en qui j’ai cru. Ce n’est pas une idée, une imagination, c’est une réalité vécue. Je ne remercierai jamais assez Dieu de s’être fait connaître à moi, pour me révéler son Fils et son amour et me donner de pouvoir porter mon regard, mon coeur, vers ce que sera l’avenir, l’éternité, avec lui. C’est un des plans merveilleux de Dieu.” François a consacré ensuite sa vie à parler inlassablement de l’amour de Dieu révélé en Jésus Christ. Il a pu expérimenter que Dieu est un Père bon et tendre pour ceux qui lui font une entière confiance. Aujourd’hui, vous pouvez vous aussi crier à Dieu, croire ce qu’il vous dit dans la Bible, et vivre la même expérience.

Le temoignage de François

April 7, 2021 • Célie

Où est Dieu, mon créateur ? Job 35. 10 Comme le cerf brame après les courants d’eau, ainsi mon âme crie après toi, ô Dieu ! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant. Psaume 42. 1, 2 Je chercherai ta face, ô Éternel ! Psaume 27. 8 Le témoignage de François (1) François était un jeune garçon tourmenté, dont les conditions de vie n’étaient pas faciles. Élevé sans religion, il était toutefois intrigué par la Bible depuis qu’un camarade lui avait dit qu’elle parlait des origines de l’humanité. Un jour, il voit dans un journal local une adresse où se procurer l’évangile. “S’ils ont l’évangile, ils doivent avoir aussi la Bible”, pense-t-il. Désireux d’en savoir plus, il s’y rend, hésite sur le chemin, arrive en retard… et ne retient pas grand-chose de ce qu’il entend. Mais au moins il a ce qu’il cherchait, il achète la Bible, et part sans prendre la monnaie. Quelques jours plus tard, François revient quand même dans la petite salle sombre, qui va devenir pour lui le point de départ de la lumière de sa vie. Les nouveaux venus sont invités à rester, on prie pour eux. François n’a pas eu de contacts avec des chrétiens auparavant et n’a jamais lu de brochure évangélique. “Je ne me souviens même pas exactement de ce qu’on m’a dit, écrira-t-il plus tard, mais j’ai cru simplement, j’ai prié avec eux, et tout a été changé. Et depuis, jamais le moindre doute n’est monté dans mon esprit. Au contraire, c’est comme un domaine dans lequel je suis entré, à 18 ans, et dans lequel je découvre chaque jour des choses merveilleuses, ou plutôt une chose merveilleuse : l’amour miséricordieux de Dieu à mon égard.” François a cru, et ce qu’il appelle “le domaine dans lequel il est entré”, c’est la “vie nouvelle” que Jésus donne à ceux qui croient en lui. (la suite demain)

Quelle perspectives ?

April 2, 2021 • Célie

Mes jours s’en vont plus vite qu’une navette, et finissent sans espérance. Job 7. 6 Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils. 1 Jean 5. 11 Quelles perspectives ? Quel est le sens de ma vie ? Quelles perspectives ai-je devant moi, sinon celle de vivre encore quelques décennies puis de mourir ? Ces questions, je dois me les poser, car la vie que je possède est mon bien le plus précieux. Autour de moi, il y a ceux qui savent que la vie est courte et cherchent à en tirer le maximum de plaisir, refusant de penser à la suite. Il y a aussi tous ceux qui “se tuent” au travail, attendant une retraite qui ne viendra peut-être jamais. Mais quelles sont leurs perspectives à long terme ? Car tout a une fin sur la terre ! La Bible rapporte le constat du roi Salomon, connu pour sa sagesse : “Quel profit a l’homme de tout le labeur dont il se tourmente sous le soleil ? … Voici, tout est vanité et poursuite du vent” (Ecclésiaste 1. 3, 14). Dieu veut donner un sens à notre vie. La Bible nous dit pourquoi nous sommes sur la terre, pourquoi la mort, elle nous montre aussi… ce qui la suit. Dieu a créé l’homme à son image, il l’a placé dans un jardin de délices où rien ne manquait à son bonheur ; il vivait en harmonie avec son Créateur. Puis l’homme a désobéi à Dieu et a perdu sa relation confiante avec lui. Il est alors devenu ennemi de Dieu. Dès lors, sa vie semble n’avoir plus de sens. Mais “Dieu est amour” (1 Jean 4. 8). Il aime sa créature et désire son bonheur. Jésus le Sauveur s’est offert lui-même pour nous permettre de nous approcher de Dieu et de recevoir son pardon, avec la vie éternelle. Croire et accepter Jésus comme Sauveur ouvre une perspective éternelle de bonheur avec lui.

Dans la bonne direction

April 1, 2021 • Célie

Je fais une chose : oubliant ce qui est derrière et tendant avec effort vers ce qui est devant, je cours droit au but pour le prix de l’appel céleste de Dieu dans le Christ Jésus. Philippiens 3. 14 Dans la bonne direction Seigneur, tu diriges mes pas Vers le ciel, ma patrie ; Mon Dieu, tu ne me laisses pas, Dans ta grâce infinie. Envers moi, selon ta faveur, Ton amour brille, ô mon Sauveur, Mon trésor et ma vie. Ah, sans la marche de la foi, Ma vie est languissante ; Mais, ô mon Sauveur, c’est en toi, En ta vertu puissante, Qu’est mon refuge et mon secours ; Et tu me montres tous les jours Ta faveur éclatante. Jusqu’au jour où je te verrai Dans l’éternelle gloire, Et près de toi j’exalterai Ta mort expiatoire, Tu seras ma part et mon fort, Mon gain dans la vie et la mort, Ma joie et ma victoire.

La communion marcher avec Dieu

April 6, 2021 • Célie

Hénoc marcha avec Dieu ; et il ne fut plus, car Dieu le prit. Genèse 5. 24 Marchez comme des enfants de lumière, … éprouvant ce qui est agréable au Seigneur… Comprenez quelle est la volonté du Seigneur. Éphésiens 5. 8, 10, 17 La communion : marcher avec Dieu (2) Avec Michel, un ami, nous échangeons sur de nombreux sujets, tout en marchant jusqu’à son lieu de travail. Quand nous arrivons près de l’entrée de son bureau, notre conversation est souvent loin d’être finie ; mais nous savons qu’elle pourra se poursuivre le lendemain. Nous marchons ensemble, partageant nos pensées, nous avons “communion” l’un avec l’autre. Au début de la Bible, il est parlé d’un homme, Hénoc, dont la vie est décrite en seulement quelques phrases ; mais à deux reprises, nous lisons qu’il “marcha avec Dieu” (Genèse 5. 22, 24). Ainsi Hénoc était en communion avec Dieu, c’est comme s’il se promenait avec lui. Et un jour, fait mystérieux, on ne le trouva plus, car Dieu l’avait pris. Hénoc avait été dans la proximité de Dieu, et à la fin Dieu l’a pris pour toujours avec lui. D’autres croyants ont aussi marché avec Dieu : par exemple, Abraham, qui est appelé “l’ami de Dieu” (Ésaïe 41. 8). Marcher avec quelqu’un permet de parler avec lui. “Marcher avec le Seigneur”, c’est avoir affaire à lui dans toutes les circonstances de notre vie. C’est rechercher sa volonté, lui poser des questions, et attendre ses réponses. Dieu peut-il marcher avec nous ? Sommes-nous d’accord avec lui ? Notre passage sur la terre pourra-t-il se résumer par ces mots : il (ou elle) a marché avec Dieu ?

Connaitre Jesus personnellement

March 31, 2021 • Célie

Si, de ta bouche, tu reconnais Jésus comme Seigneur, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. Romains 10. 9 Connaître Jésus personnellement “Né dans une famille chrétienne, je n’étais pas pour autant croyant. Mes parents m’avaient transmis les enseignements concernant Jésus Christ, l’amour de mon prochain, la charité, la compassion, l’écoute, m’initiant à lire et à chercher à comprendre ce que la Bible révèle. Je suis devenu très rigide dans mon comportement, pouvant blesser et faire du mal autour de moi, alors que la Bible me disait de ne pas juger autrui. Je ne supportais pas que l’on ne pense pas comme moi ou que l’on ne vive pas les choses comme moi, pourtant je faisais des choses que ma conscience me reprochait. Un été j’ai passé des vacances avec un groupe de jeunes chrétiens. Là j’ai compris que j’avais une certaine vie religieuse avec mes dogmes, mes convictions vraies ou fausses que je m’étais faites dans ma lecture de la Bible. J’ai pris alors conscience que je vivais ce que je croyais être la vie d’un croyant, sans pour autant connaître personnellement Jésus Christ. Tout a changé quand j’ai ouvert mon coeur à Jésus, et quand je lui ai confié la direction de ma vie. Si aujourd’hui je crois, ce n’est pas par tradition familiale, c’est parce que j’ai reconnu que j’étais pécheur. Dieu m’a accordé son plein pardon, Jésus a payé ma dette une fois pour toutes. Aujourd’hui encore la grâce de Dieu est pour celui qui se tourne vers Jésus pour recevoir le pardon de ses péchés et être rempli de sa vie.” d’après Timothée

Une priere étonnante

March 26, 2021 • Célie

Je te demanderai deux choses… : Éloigne de moi la vanité et la parole de mensonge ; ne me donne ni pauvreté ni richesse ; nourris-moi du pain qui m’est nécessaire, de peur que je ne sois rassasié, et que je ne te renie et ne dise : Qui est l’Éternel ? Proverbes 30. 7-9 Une prière étonnante “Mieux vaut être riche et bien-portant, que pauvre et malade”, dit-on. Qui contestera le fait que la vie sur terre est plus facile pour les riches et les bien-portants que pour les pauvres et les malades ? Pourtant les Proverbes nous rapportent la prière d’Agur, une prière qui contraste avec ce principe. Il se présente comme “plus stupide que personne”, n’ayant pas “l’intelligence d’un homme” (Proverbes 30. 2, 3). Mais il demande à Dieu de lui donner, tant qu’il est en vie, deux choses auxquelles il tient beaucoup. - La première n’est pas une bonne santé, mais : “Éloigne de moi la vanité et la parole de mensonge”. Il sent le besoin que Dieu le garde du mal, car il se méfie de lui-même. Et cet homme, qui se sent “stupide et sans intelligence”, a compris que “la crainte du Seigneur, c’est là la sagesse, et se retirer du mal est l’intelligence” (Job 28. 28). - La deuxième n’est pas la richesse. Il demande : “Ne me donne ni pauvreté ni richesse”. Il craint que la pauvreté ne l’amène à maudire Dieu, et la richesse, à l’oublier… Le monde qui nous entoure ne confirme-t-il pas qu’Agur a raison ? Bien des pauvres rendent Dieu responsable de leur état, et bien des riches vivent sans lui… Par sa prière, Agur montre qu’il possède des valeurs plus sûres que celles qui régissent la vie de nos sociétés. Il a Dieu pour référence, il apprécie tout par rapport à lui. Voilà ce qui rend cet homme admirablement sage et intelligent, son âme est en bonne santé et il est “riche quant à Dieu” (Luc 12. 21).

Le bâton d'amandier

March 25, 2021 • Célie

La parole de l’Éternel vint à moi, disant : Que vois-tu, Jérémie ? Je dis : Je vois un bâton d’amandier. L’Éternel me dit : Tu as bien vu, car je veille sur ma parole pour l’exécuter. Jérémie 1. 11, 12 Le bâton d’amandier Le nom hébreu de l’amandier est : l’arbre qui veille (Shaqed). De façon concrète et frappante, Dieu imprime dans la mémoire de son jeune prophète Jérémie l’assurance qu’il veille sur sa parole pour l’exécuter. Jésus le confirme : “Jusqu’à ce que le ciel et la terre passent, un seul iota ou un seul trait de lettre ne passera pas de la Loi, que tout ne soit arrivé” (Matthieu 5. 18). Mais le bâton d’amandier a aussi, dans la Bible, une signification particulière : pour mettre fin à une remise en cause de la légitimité du prêtre israélite Aaron, Moïse pria chacun des douze chefs de tribu d’apporter un bâton dans la tente sainte. Dieu allait désigner clairement l’homme qu’il avait choisi. “Le lendemain, Moïse entra dans la tente du témoignage, et voici, le bâton d’Aaron avait bourgeonné, des boutons avaient poussé, il avait produit des fleurs et mûri des amandes” (Nombres 17. 8). Non seulement Dieu indiquait qui était chargé du service religieux, mais il donnait à ce miracle une signification précise : il annonçait la résurrection. Un bâton sec, taillé, reprend vie en une nuit, bourgeonne, produit des boutons, des fleurs et des amandes mûres ! Oui, l’amandier est à la fois le signe de celui qui veille à accomplir sa parole, et l’annonce de la résurrection. Quelle consolation, quand nous pensons à ceux qui nous ont quittés et avaient mis leur confiance en Jésus : nous savons que le Seigneur accomplira sa promesse de les ressusciter au dernier jour (Jean 6. 39).

Aucune opinion

March 23, 2021 • Célie

(Jésus demanda à ses disciples :) Et vous, qui dites-vous que je suis ? Simon Pierre répondit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. Matthieu 16. 17 Nous savons que celui-ci est véritablement le Sauveur du monde. Jean 4. 42 Aucune opinion ? En exil à Sainte-Hélène, Napoléon reçut de France une Bible ornée des armes impériales. Dans son désoeuvrement et son ennui, il se mit à la lire, et son intérêt se porta surtout sur la personne et l’oeuvre de Jésus Christ. La comparaison de la vie sainte de Jésus Christ avec sa propre carrière lui fit, paraît-il, une profonde impression. Un jour, il arrêta brusquement sa promenade et se tourna vers l’aide de camp qui marchait à côté de lui : - Montholon, que pensez-vous du Christ ? - Sire, excusez-moi, je n’ai aucune opinion à son sujet. L’empereur continua sa marche et répondit lui-même à sa question : - Alexandre, César, Charlemagne, moi-même, nous avons fondé des empires, mais sur quoi avons-nous fait reposer notre pouvoir ? Sur la guerre, sur la force. Jésus Christ, lui, n’a fait reposer son empire que sur l’amour. Dieu sait si l’illustre prisonnier a cherché auprès de Jésus le pardon et le salut. Le récit de ses derniers jours n’en a rien révélé. Disons-nous comme le marquis de Montholon : “Je n’ai aucune opinion au sujet du Christ” ? Ou pensons-nous que la délivrance qu’il apporte est moins nécessaire pour nous que pour l’empereur déchu ? Elle nous est indispensable car “tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu” (Romains 3. 23). Nous ne trouvons ce salut qu’en croyant personnellement au Fils de Dieu, crucifié et ressuscité. Aujourd’hui encore il offre sa grâce. Recevons du Sauveur, par la foi, la vie éternelle.

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